C'est vraiment très beau, y'a pas à dire : les décors sont impressionnants avec de beaux effets de lumière. J'ai beaucoup aimé le brouillard dans la première zone. L'ambiance est aussi présente même si bon, faut l'avouer : c'est du cliché. Manque plus des petits diables avec des fourches. L'histoire... Pas compris. On est censé trouver des sortes d'autels pour débloquer une lettre pour pouvoir lire les textes. Oui mais non. Pas envie. Seigneur, que ce jeu est chiant : vous évoluez dans un immense couloir avec aucune interactivité possible. Les combats sont d'une mollesse... Dédie au corps à corps : ridicule. Vous pouvez sprinter mais ça dure que quelques secondes ! 2017 : vous ne voyez pas le corps du personnage quand vous baissez le regard. Aucune excuse. La musique est sympa comme les voix... Mais bon. Franchement, je n'ai pas grand chose à dire sur Inner Chains, je ne l'ai même pas fini tellement que je le trouvais ennuyant. Je déconseille.
Le système pour sauvegarder est épouvantable : vous ne POUVEZ juste PAS le faire ! Vous avez des check-points bien trop espacés. Mais le mieux : ce n'est pas une sauvegarde. En fait, c'est un point de contrôle mais si vous quittez le jeu, y'a plus ! Vous recommencez votre mission depuis le début. Non, non et NON.
Graphiquement c'est très beau pour un jeu de 2002 : les environnements sont plutôt détaillés, on a du sang et les personnages ne sont pas laids. Les animations par contre... Oui, elles sont pas terribles, vous en rendrez compte très vite en observant votre héros. Mais quand même, elles sont assez travaillées et réalistes : vous tenez une grenade de la main gauche avec votre arme dans la droite sans pouvoir tirer ; cela rajoute de l'immersion. Je salut aussi le fait qu'on voit les armes qu'on porte. Vous avez l'option de jouer en mode FPS ou en mode 3ème personne (qui sert à rien vu que c'est pas super jouable) : c'est assez rare pour le souligner. Surtout, quand on baisse le regard, on voit son corps et ça, c'est bien. Des bugs viennent ternir l’expérience : des corps qui traverse les murs, des rechargements d'armes sans enlever et remettre un chargeur (c'est bien un bug, j'ai regardé des vidéos et ça ne leur fait pas). L'IA est stupide : elle peut rester plantée là et attendre la mort et vous foncez dessus sans raison. Attention, le jeu n'est pas facile : on se prends quelques balles et c'est terminé. Ce n'est pas insurmontable mais vous pouvez vous retrouvez dans des situations avec plus de vie face à plusieurs ennemis. (on se soigne avec des medikits à trouver) L'histoire bien clichée est sympa à vivre surtout avec le coup des télévisions : c'est vraiment bien trouvé de pouvoir enrichir le lore comme ça. Je pense qu'on manque de musique : c'est assez silencieux. Gros point fort : les voix sont en version originales. Les allemands et les russes parlent leurs langues. Du détail mais qui renforce l'immersion. Iron Storm est un FPS de grande qualité, bien que court, il est néanmoins intéressant et plaisant. Je le conseille fortement ! Il est dommage qu'on ai pas eu de suite.
Les paysages sont vraiment pas mal : nous avons de beaux effets de lumière. Ça se gâte quand il s'agit des personnages : tout est carré et pas du tout détaillé. Alors oui, c'est un choix artistique mais c'est assez choquant quand le reste est plutôt bien modélisé. La musique est bien. Étant donné qu'il n'y a AUCUN DIALOGUE, celle-ci aura la lourde tâche de donner le ton de la scène ainsi que transmettre de émotions. Mission accomplie pour ma part. Alors l'histoire, là, nous entrons dans le vif du sujet. Le début se passe bien, même si, les transitions de scènes sont trop brusques : vous marchez dans un couloir et magie : vous changez totalement d'endroit en un clin d’œil. Très déstabilisant. Même si rien n'est dit, tout est montré et franchement ça passe bien. On arrive ressentir de l'empathie pour les personnages et c'est un tour de force. Le problème c'est que c'est assez bordélique par moment. J'ai eu l'impression que notre protagoniste devrait aller consulter en urgence des psychologues. A mon avis, l'histoire en fait trop. Sans spoiler : elle aurait dû finir au niveau des cellules avec la scène juste après. Ça aurait une fin parfaite et triste. Mais non, on part encore pour 20 minutes de délires pour au final arriver sur une fin trop... Fouillis. Comme beaucoup d'éléments, je n'ai pas tout compris. On vous donne des documents à lire mais vous avez pas le temps : transition vers la scène suivante. On est pas là pour lambiner ! Le jeu se termine très vite : comptez deux bonnes heures. Virginia tient plus du film interactif que du jeu vidéo. Vous subissez. Vous ne pouvez pas interagir avec les personnages ou le décor sauf si c'est prévu dans le scénario. Les meilleures moments sont ceux où le jeu prend le temps de se poser et d'instaurer son ambiance sans avoir à rusher les séances .
Graphiquement c'est pas folichon, en 2002, vous aviez des jeux bien plus beaux. Les textures sont passables tout comme les modélisations de certains personnages. Par contre, je tiens à saluer le fait que les développeurs ont fait l'effort de mettre les affiches en français. C'est vraiment rare. La VF (trouvable sur le net) est pas terrible : la voix du héros est misérable. Peut-être est-ce pour cela qu'il ne doit pas avoir que deux ou trois répliques en tout ? Quant à la musique : trop discrète ! On est pas vraiment plongé dans l'action. Quant à l'histoire : clichée au possible et... Hors-sujet. Vous changez le nom des rebelles (Red Faction) pour un autre : impossible de savoir que vous êtes dans cet univers. Il n'y a aucune mention du jeu précédent. Même pas Ultor... Qui est pourtant la plus grosse compagnie sur Mars même si l''action se déroule sur Terre. Quant aux personnages : ils sont tous vides. Aucun ne se démarque. J'ai trouvé Sopot plutôt réussi mais c'est vraiment le méchant de base. Par contre, gros point positif : j'aime beaucoup le discours du dictateur dans le menu principal. Sa voix est pas mal et la musique rend bien. On saluera la tentative de mise en place d'un système de karma : vous avez quatre fins possibles. Elles dépendent du nombre de civils tués et d'objectifs bonus réalisés. Pourquoi pas, mais les cinématiques sont navrantes et seul les dialogues changent (15 secondes pour la conclusion). Et la destruction du décor ? Le fameux "Géo-Mode" ? Une misère ! On peut quasiment rien détruire : vous pouvez faire un trou dans un mur (quand c'est possible) et c'est tout. Dans le premier, vous pouviez carrément faire s'écrouler un pont. Ah et on peut pas sauvegarder dans les niveaux : quelle joie de tout recommencer car on est mort vers la fin. On termine assez vite le jeu d'ailleurs : comptez 4 ou 5 heures. Red Faction 2 n'apporte au final rien à la série. Néanmoins, je le conseille. Il reste un FPS tout à fait correct.
Les graphismes tendent vers le cartoon : on aime ou on aime pas, certes c'est coloré mais certaines textures sont franchement grossières (Wind Waker faisait mieux à mon avis). Les musiques sont plutôt chouettes : très entrainante (j'aime beaucoup celle de la forêt). Pour les voix... Bah y'en a pas sauf celle de l'introduction. Enfin, elles sont remplacées par des onomatopées genre "oh", "gaaaaaé" ; un budget en chute libre ? L'histoire est clichée au possible : vous savez qui sera le méchant, qui va se faire tabasser la tête et comment tout cela va finir. Il n'y aucune surprise. La fin ouverte permet d'envisager une suite. Je reprends mon titre : "enfantin" car si ici point de mort, oh non : à un moment vous affronterez des humains et dans son monde, se prendre trois boules de feu vous fait voir des étoiles. La personnalisation des sorts aurait pu être cool mais franchement : trop limitée ! On se sert pas de la moitié, à part pour des énigmes. Des puzzles sont aussi à faire pour ouvrir des portes, le principe est de connecter des icônes entre elles : c'est sympa au début mais ça devient vite fatiguant. Le jeu est très court : fini en 7h. La difficulté n'est pas très élevé sauf vers la fin vu qu'il est impossible de se soigner (vous devez acheter un objet qui vous fera revivre). Oui, on peut se soigner avec les loots des ennemis mais quand il y en as pas ? Bah tant pis. Cela a rendu mon combat final très frustrant. Le gameplay est ok même si Zia a tendance a taper à côté des ennemis vu que le curseur = regard. Cela devient très vite le bordel en combat. Une mini-carte aurait été utile au passage. Il n'y pas non plus d'interactivité avec le décor à part casser des tonneaux/caisses. Notre personnage ne peut pas nager alors qu'on a l'a vu faire au tout début : c'est totalement stupide. Mages of Mystralia est un jeu moyen : ni bon ni mauvais. Il se laisse jouer mais vous l'oublierez très vite. Il lui manque une vraie identité. Dommage.
L'aspect un peu cartoon des personnages ne m'a pas dérangé, au contraire, cela donne une identité au jeu. Les décors sont corrects : ce n'est pas extraordinaire surtout pour 2018 ! Les voix anglaises sont sympas tout comme la musique. L'histoire bien que cliché n'est pas dénué d'humour : elle est plaisante à suivre. On se déplace sur une carte au tour par tour pour aller de mission en mission : l'exploration est impossible. Au début de partie, il faut choisir deux mercenaires qui ont chacun des avantages et des inconvénients. Leur dialogue change légèrement : c'est cool. Même si c'est très limité, ça leur donne un peu de personnalité. Le fait de devoir looter les ennemis pour prendre leurs équipements est une bonne idée tout comme l'aspect "survie" où il faut boire et se soigner pour éviter les infections. Ce n'est cependant pas très handicapant. L'IA est quant à elle vraiment stupide : elle passe le plus clair de son temps à courir totalement à découvert. Vous avez un niveau avec une prison où il faut sauver des civils, après m'être infiltré, je me suis placé en hauteur et là... Ce faut le massacre ! Un véritable tir aux pigeons : les ennemis courent vers vous sans chercher à vous piéger : c'est bien trop facile. Nous ne sommes jamais surpris. Des fois, j'ai même eu l'impression qu'ils paniquaient et courraient partout. Mais alors pour une étoile ? Il est ABSOLUMENT SCANDALEUX de ne pas avoir CORRIGER des BUGS qui FOIRENT VOTRE PARTIE comme des CHARGEMENTS INFINIS (J'ai tout tenté : à une certaine partie de la carte, mon jeu chargeait dans le vide) ou L’IMPOSSIBILITÉ DE SAUVEGARDER (vous ne pouvez plus sauvegarder, pourquoi ? Dieu seul le sait). Si je n'avais pas eu ces bugs, je vous l'aurait totalement conseillé mais là : fuyez ce gâchis ! Je doute qu'ils soient corrigés un jour. Beaucoup de plaintes de joueurs : rien derrière. Triste.
Ce qui vous frappera dans les débuts c'est sans aucun doute le design très particulier des bâtiments et des décors. Dans beaucoup de jeux, on vous montre des villes sales avec un temps pourri mais pas dans ici ! Tout est blanc (même les arbres), propre avec un superbe ciel bleu. Cela change agréablement et apporte un plus à l'univers : la ville est à première vue parfaite mais ce n'est qu'une illusion. L'histoire est raconté via des sortes de dessins animés... Pourquoi pas même si personnellement, je les trouves pas géniales. La narration n'aide pas : vous savez directement qui sont seront les traîtres : c'est tellement évident quand ça en devient ridicule. Et le dessin animé vous apporte aussi un indice : vous verrez dans leur comportement et aussi dans leur design qui est gentil et qui est méchant. L'histoire se termine sur au final rien du tout et bien qu'une suite est envisagée, nous ne l'aurons jamais. Niveau gameplay, c'est pas mal, on voit le corps quand on baisse le regard : merci Seigneur. Il arrive souvent que l'on meurt suite à un saut raté ; Faith n'a des fois simplement pas envie de s'agripper et préfère chuter vers sa destinée. On regrettera l'absence d'interaction avec le décor. Certes, on peut casser les vitres mais tous les objets restent à jamais figés... Ça par contre, c'est vraiment nul. Je trouve aussi les scènes de désarmements assez classes et réalistes. Les scènes de courses poursuites sont sympas au début mais après la 3ème en 5 minutes... Erf... On voit les limites : escalade + poursuite jusqu'à la fin. Niveau bug, j'en ai finalement pas trop eu mais certaines scènes sont très maladroites comme notamment la rencontre entre Ropeburn et un autre personnage. Dans cette scène, on les espionne puis le jeu reprends SAUF que si vous regardez bien : les personnages disparaissent comme par magie après la cinématique. Un détail, certes. Je conseille Mirror's Edge non pas pour son histoire mais pour son gameplay et son univers.
Les combats sont extrêmement brouillons et à cause d'une caméra assez capricieuse, cela peut vite tourner au fiasco. D'ailleurs, quand on ramasse des munitions, on s'équipe automatiquement de l'arme en question et c'est pénible. Le système de sauvegarde : vous pouvez juste PAS SAUVEGARDER ! Aucun Check-point, vous devez faire le niveau en entier et si par bonheur vous mourrez (un mauvais saut par exemple), et bien c'est cuit. Retour à la case départ ! C'est très frustrant et si on arrêter de jouer ? Bah tu refais le niveau. Certes, ils sont assez courts mais peu importe, c'est HONTEUX. C'est ce qui m'a fait stopper le jeu après être mort vers la fin d'un grand niveau. Si on enlève ces deux points : le jeu est sympa. La VF est de qualité tout comme la musique (en même c'est celle des films donc voilà !) L'histoire semble être réalisée comme si c'était un film Indiana Jones avec les mêmes clichés. Vous avez une sorte de "mode aventure" qui s’enclenche sur certaines phases pour éviter des pièges : c'est marrant mais pas nécessaire vu que les piques semblent seulement égratigner le héros. Au passage petit remarque pour le premier niveau : "utiliser la machette", c'est très mal expliqué. On nous fait croire qu'on la possède alors qu'il faut la trouver. Je suis resté bloqué plusieurs minutes à chercher dans l'inventaire et dans les options. Beaucoup de petits détails comme Jones qui remet son chapeau quand il sort de l'eau (pas mal le bug aussi quand vous mettez le jeu sur pause : a plus le chapeau !) Saviez-vous que ce cher aventurier était asthmatique ? A peine court-il, qu'il souffle comme si il avait fait le Marathon. Et enfin le menu : on peut pas utiliser la souris, on est sur PC. Aucune excuse ! Personnellement, j'aurai conseillé Indiana Jones et le Tombeau de L'Empereur si on avait eu un vrai système de sauvegarde. Après c'est peut-être pas gênant pour certain mais moi, c'est direct un GRAND NON.
Graphiquement assez moyen : les décors restent pas mal détaillés tout comme les personnages. Total Overdose s'inspire de Max Payne pour son bullet-time et de Matrix pour ses cascades (la roue sur le mur est cool). La musique est vraiment cool, alors oui, il faut aimer. Elle contribue à donner une ambiance "mexicaine" : ce n'est pas tous les jours que vous avez ce genre de musiques. La VF est correcte et le fait que les personnages "mexicains" aient un accent est plaisant. Le surjeu de certain doubleur ("Le Rat" notamment) rends les PNJS attachants. La cinématique d'introduction (avant même le menu principal) donne le ton : Total Overdose ne se prends pas au sérieux. Vous aurez des bonus comme le fait de pouvoir invoquer la "mort mexicaine" armée d'un lance-grenade ou encore foncer sur les ennemis tel un taureau dans une corrida. L'histoire bien clichée au possible reste agréable à suivre. Vous incarnez trois personnages (une mission pour les deux premiers) avant d'avoir le héros principal. C'est plutôt sympa bien que bon c'est pas non plus des missions très intéressantes, elles forment simplement une sorte de "prologue". Par contre, le fait de devoir faire des défis pour débloquer la mission suivante : mouais... C'est pas terrible. Un système de score est en place et à la fin de chaque mission, vous débloquerez des bonus. Mais il est vraiment anecdotique : vous arrivez facilement au maximum sans faire d'effort. Niveau soucis : des bugs bien sûr comme les décors qui lévitent ou le fait de passer à travers le sol (je l'ai eu une fois), l'absence de carte globale (nous avons simplement un radar) rends parfois la progression difficile. Mais ce défaut est compensé par la taille de la carte : elle est petite et constituée de secteurs (avec quelques missions à la campagne mais ça reste vraiment pas grand). Malgré tout, je conseille ce jeu, même si sa durée de vie est vraiment courte (environs 5 heures), il reste un bon défouloir. La fin laisse présager une suite.