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Little Nightmares

Un beau narrative platformer simpliste

A la fois jeu d'ambiance et jeu de plate-formes à énigmes, Little Nightmare propose avant tout un univers artistiquement très soigné et très abouti. Avec des ennemis et des PNJ qu'on dirait tout droit sorti d'un film d'animation stop motion en pâte à modeler, ces environnements en 3D mais qui font très scènettes de petits théâtres de marionnettes, tout ici respire le monde de l'enfance, ou plutôt étouffe une enfance perdue et moribonde, dont l'innocence vient d'être tuée dans l’œuf par une exposition bien trop rapide aux dangers du monde qui se présente à notre petit personnage en cirée jaune. Tout au long de son périple notre petit personnage fera face à tout un tas de danger, de la gravité en passant par des cuistots tout droit sortis des Triplettes de Belleville, ou encore des convives attablés, mais dont la faim jamais rassasiée, les conduira à la folie. Malheureusement, les énigmes simplistes ne font pas honneur à la direction artistique, à l'ambiance et à la construction narrative puisqu'ici, on ne fera qu'ouvrir des tiroirs pour s'en servir de plateforme, tirer des leviers, tourner des roues, et surtout se cacher de nos teigneux poursuivants dans un mouvement perpétuel de survie assez viscérale il faut le dire. En résumé, un bien sympathique survival platformer en 2,5D très inspiré artistiquement, avec une narration environnementale très développée mais au gameplay malheureusement simpliste.

2 gamers found this review helpful
Hollow Knight

La perle rare des Metroidvania

Quelle claque ! Hollow Knight est typiquement le genre de jeu que l'on aime à la fois adoré (passionnément) et détesté (rarement). Un jeu qui vous happe totalement, parfois pour vous recracher sauvagement parce qu'on n'a pas été à la hauteur de ses attentes, la plupart du temps pour vous poser délicatement sur un sommet de bonheur vidéoludique en haut duquel on se sent plus grand qu'avant. Hollow Knight fait définitivement partie de cette catégorie de jeux qui ne vous lâche plus sitôt que l'on s'est immergé dans son univers riche et généreux. Si de prime abord, les environnements peuvent sembler redondant, il n'en est rien. Les développeurs ont su au cours de la promotion du jeu en garder sous le capot en ne dévoilant que les premiers niveaux et leurs ambiances associées, un peu comme From Software avait su habilement le faire avec Bloodborne. La comparaison avec le studio japonais ne s'arrête bien sûr pas là. Si les mécaniques de Hollow Knight s'éloigne naturellement d'un Souls pour piocher allègrement dans ce qui se fait de mieux dans le Metroidvania tout en y apportant sa patte, on y retrouve néanmoins toute cette passion des développeurs pour proposer aux joueurs un univers dense et riche, cohérent de bout en bout, avec des personnages secondaires marquants, des boss mémorables avec un vrai intérêt ludique, une narration environnementale et un level design qui forcent le respect. Même en lui cherchant des poux sur son crâne de chitine, on a bien du mal à trouver des défauts à Hollow Knight. Si le jeu nous met parfois des fessées mémorables, il n'en est pour autant jamais injuste, un peu comme un sensei avoinant son élève car il n'a toujours pas compris comment attaquer la lame adverse pour placer la nouvelle botte apprise. Un grand jeu, tout simplement.

5 gamers found this review helpful
Mother Russia Bleeds

Un Beat’em Up à l’ambiance imparable

Non, Mother Russia Bleeds n'est malheureusement pas le revival tant attendu du Beat'em Up, et encore moins de la série Street of Rage. Dommage ! La faute à un gameplay certes riche, mais par trop approximatif, pour être absolument dénué de toute frustration. Cependant les quelques mécaniques de gameplay introduites via les seringues sont vraiment intéressantes : la mécanique de recharge met bien le stress quand on est à cours de produit tox, et le choix offert entre reprendre de la vie ou utiliser le boost associé est souvent cornélien. Le tout donne au jeu sa propre personnalité de Beat'em Up et c'est ça qu'on aime. Mais ne cachons/gâchons pas non plus notre bon plaisir à arpenter les recoins les plus sombres/crasseux/poisseux de la Mère Patrie, pour y désosser tous les thugs, fascistes et autres déchets de la société, le tout sans aucune retenue. Car s'il y a bien un point sur lequel le jeu se distingue de ses semblables, c'est sa direction artistique. La Russie purement fantasmée qui nous est dépeinte ici est peuplée de tout ce que le monde a pu enfanter de pire. La violence des affrontements y est totale (Devolver Seal of Quality), le pixel art y est des plus évocateurs, bref l'ensemble est très abouti et ferait passer le Cobra de Stallone pour un actioner de bon goût ou encore les Street of Rage pour des épisodes de Candy, avec leurs dangereux punks à crête en survêt' fluo. Les quelques touches d'humour bien gras collent aussi bien à l'ambiance avec des provocations, des glaviots sur les ennemis et des combats à coups de rouleau de PQ tous vraiment bien sentis. Et si graphiquement, ça touche sa bille, musicalement parlant, la BO n'est pas en reste, avec certaines compositions de Axiom en Synthwave des plus inspirées. En résumé, un joli plaisir coupable qui nous est proposé là par un duo de développeurs certes débutants mais avec plein d'idées, de folie et de (mauvais) goût. Merci à eux !

2 gamers found this review helpful
Dying Light: The Following – Enhanced Edition
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Dying Light: The Following – Enhanced Edition

Un survival open world sympa

Dying Light est une sympathique réussite, mélangeant habillement différents styles de gameplay avec une certaine réussite. Tout d’abord, la partie FPS est plutôt réussie avec un réel plaisir procuré par l’utilisation des armes de corps à corps. Les déplacements en parkour sont eux aussi plutôt bien foutus, s’inspirant de Mirror’s Edge voire d’Assassin’s Creed. L’utilisation du grappin (qui se débloque en fin de jeu) est d’ailleurs particulièrement jouissive puisqu’il décuple la mobilité au sein de la ville. Le système d’XP est d’ailleurs à ce sujet assez prenant. Graphiquement, c’est plutôt joli, avec une belle reconstitution de ville typée Proche Orient, architecturalement dense et agréable à parcourir, bien qu’elle manque de point d’intérêt. Techniquement, le jeu souffre tout de même d’une certaine instabilité, tant au niveau du Alt-Tab (le retour en jeu n’étant pas assuré) que de crashs purs et simples. Du point de vue narratif, le jeu est plutôt plaisant à suivre, tout du moins dans sa quête principale (notre rôle d’agent double est bien rendu), même si l’ensemble manque d’ambition, en particulier au niveau des quêtes secondaires qui restent très basiques, en mode FedEx. Au chapitre des déceptions, le système de sauvegarde est assez archaïque et énervant. Pourquoi ne pas avoir implanté de sauvegarde rapide bordel !?! Dying Light The Following est, contrairement à son grand-frère plutôt frustrant de bout en bout. Ici, au revoir le plaisir du parkour et le sentiment de domination du champ de bataille qu’il nous donnait. Et bonjour au buggy, à son arbre de compétences correspondant, et surtout aux interminables allers et retours sur cette immense carte bien vide du plaisir de la découverte normalement inhérent aux mondes ouverts. On passe ici notre temps à aller d’un bout à l’autre de la carte, avec de fait un côté quêtes FedEx encore plus ressenti que dans le jeu de base. Si le jeu en lui-même reste agréable, The Following propose donc une orientation diamétralement opposée à celle de son aîné, même au niveau des combats. Ici, l’utilisation des armes à feu y est renforcée et nous disposons en effet d’un arsenal à distance bien plus varié qui s’adapte de fait aux plus grandes étendues de l’extension, les endroits exigus étant ici presque inexistants. Techniquement parlant, j’ai un peu la rage, le jeu m’ayant corrompu mon unique sauvegarde (de plus de 25h de jeu) suite à un crash qui a dû se finir en Ctrl-Alt-Suppr. Un mal pour un bien, ce bug ayant mis fin à ma partie définitivement… et je n’y retournerai pas.

4 gamers found this review helpful
Orwell

Une aventure textuelle qui rate sa cible

Orwell est un jeu d'enquête narratif et textuel dans lequel nous interprétons un investigateur de la NSA, l'agence d'espionnage américaine, devant investiguer sur les attentats ayant eu lieu sur le sol américain. Un jeu très ancré dans son époque donc, où terrorisme et lanceurs d'alerte sont sur le devant de la scène. Bref, un parfait miroir de notre état d'urgence devenu perpétuel. Pour faire simple, Orwell c'est un peu le Papers Please du XXIe siècle. Nous allons devoir analyser des dizaines de mail, de photos, des journaux, qui vont nous permettre d'établir une toile d’araignée des protagonistes (et coupables) des événements. Si sur la forme, Orwell se veut (comme Papers Please) très répétitifs et assez peu passionnant dans son gameplay, le jeu veut surtout nous questionner sur notre époque de surveillance informatique systématique généralisée. Il y parvient sans grande difficulté (sans doute prêche-t-il un convaincu...). Cependant, les choix (sensés être) cornéliens que propose le jeu m'ont un peu déçu narrativement, dans le sens où je les ai trouvés prévisibles. Si Orwell reste globalement une agréable expérience vidéoludique et narrative, il n'en reste pas moins décevant pour moi. J'aurai voulu qu'il soit tellement plus.

Metro: Last Light Redux

Une digne suite plus maitrisée

Last Light, c'est un peu l'affinage des mécaniques introduites avec Metro 2033, avec une couche de "Callofdutisation" par-dessus. Entendre par là que la narration se fait plus présente et prégnante (et contraignante) que dans son aîné, avec un scénario plus travaillé et sans doute une plus grande linéarité de son action. En tout cas, c'est mon ressenti après avoir enchaîné les deux épisodes d'une traite. Metro étant un FPS très linéaire à la base, on est plutôt satisfait de voir cette évolution, avec une plus grande variété d'environnements et de situations, des scènes plus marquantes également, bref du bon pour ceux qui veulent s'immerger dans cet univers sans concession. On n’aurait cependant pas craché sur plus de liberté d'action, introduite parfois timidement mais avec talent dans certains niveaux (celui avec la draisine par exemple, ou encore le passage dans les marais). A quand le métro moscovite en open world ? Surement jamais vu les problèmes qu'a eu le studio à accoucher de Last Light. On est déjà proche du miracle quand on connait les conditions de travail de ce studio ukrainien et quand on voit le résultat final d’une grande qualité au vue des moyens.

6 gamers found this review helpful
Metro 2033 Redux

Un FPS scripté à l’ambiance incroyable

Metro 2033 se veut être une adaptation libre de l'univers fictionnel créé par l'auteur Dmitri Gloukhovski, en un FPS à tendance très narrative. On joue ainsi Artyom, citoyen d'une station devant traverser tout le métro moscovite pour aider son prochain et mettre fin aux différentes menaces qui pèsent sous terre. Des menaces par ailleurs variées, entre les monstres mutants en tous genres, les néo-nazis bas du front et les Sombres (des entités éthérés un peu indéfinissables), y'a de quoi faire pour notre héros. Et d'ailleurs, on ne va pas s’ennuyer. Le jeu est construit narrativement comme un grand road movie principalement sous-terrain (mais pas que), durant lequel on va enchaîner des missions plus ou moins variées, consistant en général à sortir du pétrin dans lequel nos camarades et nous même sommes plongés. C'est plaisant, joli à voir (je ne me souviens plus de Metro 2033 lors de sa sortie initiale en 2010, mais le remake du jeu avec le moteur de Last Light est très propre), et surtout très très immersif (merci à la gestion des masques à gaz et de la lumière pour ça d'ailleurs). Le gameplay contient de nombreuses bonnes idées, comme cette utilisation des munitions (artisanales ou militaires) comme monnaie d'échange avec les marchants. Ou encore la possibilité d'éteindre les lumières pour faciliter son infiltration. Cependant, l'IA des soldats gâche en grande partie le plaisir de l'infiltration, soit parce qu'ils sont vraiment trop idiots (le fameux esprit d'équipe surement), soit parce qu'ils deviennent d'un coup tous nyctalopes. Dans l'ensemble, on tient là un bon FPS très narratif, qui se laisse suivre sans déplaisir jusqu'au bout, du fait d'une immersion particulièrement poussée et réussie, et grâce aux quelques sueurs froides que le jeu donnera aux gamers qui pousseront le bouton de la difficulté (la raréfaction des munitions est indispensable pour vraiment profiter de l'univers et le rendre cohérent).

6 gamers found this review helpful
Hyper Light Drifter

le meilleur action-RPG en pixel art

Premier jeu du studio Heart Machine, avec une forte composante autobiographique insufflée par son auteur Alex Preston, Hyper Light Drifter transpire l’amour du jeu vidéo, et celui de l’art plus largement. Graphiquement parlant, c’est un sans-faute. Le pixel art est totalement maitrisé puisqu’il est au premier abord très réussi (design général, couleurs) mais également très évocateur, ce qui est le propre de cette technique ! Donner à voir sans montrer. Nos pérégrinations au sein du monde que nous offre le jeu nous font découvrir un monde post-apocalyptique bourré de mutants et d’expérimentations inavouables, avec ce qu’il faut de civilisations disparues pour donner du relief à l’ensemble. Le monde est construit un peu à la manière d’un zelda et il est extrêmement riche en secrets en passages dérobés à découvrir. Un plaisir. La bande son a été très soigné avec des bruitages inspirés et une musique de Disasterpeace (déjà compositeur sur FEZ) au top. La narration est quant à elle très belle. Totalement muet, le jeu ne s’exprime, à travers ses PNJ, que par des vignettes. Et à la façon d’un Dark Souls, Hyper Light Drifter fait la part belle à la narration environnementale. D’un point de vue gameplay, on a un action-RPG bien punchy et très nerveux, particulièrement exigeant sur certaines phases, mais hautement gratifiant une fois certains passages réussis. Les boss sont très inspirés, avec des paterns qui demandent un certain apprentissage. Quelques reproches pour finir. Le timing d’enchainement des dash est vraiment très court, et même après un run complet, il n’est que partiellement maitrisé. Notre personnage n’a pas de frame d’invulnérabilité et on peut donc se faire enchainer par plusieurs ennemis attaquant en léger décallage… et mourir lamentablement. Et le respaw est un peu longuet, frustrant sur les passages ardus qui transforment le jeu en die and retry. Mais dans l’ensemble rien ne nous fera bouder ce grand action-RPG qui tient toutes ses promesses.

3 gamers found this review helpful
Primordia

Un point’n click hardcore en pixel art

Le studio Wadjet Eye Games s’est fait une spécialité des jeux d’aventure en pixel art. La série des Blackwell, Gemini Rue, etc sont tous autant de pierres à un édifice vidéoludique qui a bien de la gueule. Ayant particulièrement aimé Gemini Rue en son temps, j’attendais beaucoup de Primordia, de son univers très noir où l’homme (toute vie organique ?) a complètement disparu pour laisser place à un monde fait de robots et d’IA. Malheureusement, si j’ai apprécié l’histoire, je n’ai pas réussi à me faire violence pour terminer le jeu sans soluce. La faute à des énigmes bien trop hardcore pour mon petit cerveau, énigmes déjà complexes mais encore plus desservies par une lisibilité à la rue. Comme annoncé, l’univers de Primordia est très noir. Si, sur le fond, la noirceur est très appréciable pour un jeu de ce genre, sur la forme, elle nuit totalement au gameplay. La palette graphique tourne autour du orange-rouille et du gris-noir. Si le pixel art, parfaitement maitrisé par le studio, est très beau artistiquement parlant, il rend selon moi la tâche particulièrement ardue pour un point’n click où de simples détails de l’environnement peuvent avoir leur importance pour avancer dans le jeu. On se retrouve donc à passer la souris sur chaque détail du décor pour voir ce que le héros nous en dit et savoir si c’est interactif. Le pire du pire étant les combinaisons d’objets totalement folles à faire dans l’inventaire. Si on n’essaie pas chaque objet avec ses voisins, il est impossible de deviner que tel amas de pixels peut se combiner avec tel autre. D’autant qu’on est dans un univers science-fictionnel très original, donc avec des objets propres au jeu. Et c’est vraiment rageant de ne pas pouvoir comprendre que tel objet a un lien avec ceci ou cela sans faire appel à la chance. Personnellement, ça m’a complètement sorti du jeu alors que le propre du beau pixel art est d’être suffisament évocateur pour laisser le cerveau comblé le manque de pixels. Pour mon cerveau, y’a trop de trous à combler dans Primordia. Concernant la narration, elle est vraiment très bonne, le personnage principal a juste ce qu’il faut de "badasserie" et notre sidekick juste ce qu’il faut d’humour. Les dialogues sont cool (mais sans traduction) et même les PNJ croisés reflètent une personnalité. Un comble pour des robots ! On sent que le studio maitrise son univers à ce niveau, même si le scénario reste convenu avec un méchant attendu. Bref, un bon point’n click qui m’a déçu et frustré. Dommage.

1 gamers found this review helpful
Dead Synchronicity: Tomorrow Comes Today

Un sympathique point’n click très noir

Le point fort de Dead Synchronicity, bien avant la qualité de ses énigmes ou de son scénario, c’est son ambiance. Tout y est particulièrement noir. Que ce soit les personnages et leurs sentiments, les décors et leur délabrement, tout, absolument tout arbore fièrement son désespoir. Notre personnage est un amnésique (oui, encore un !) sorti du coma dans les premières minutes du jeu. Cette astuce classique de scénariste permet au jeu de faire découvrir au joueur en même temps qu’au personnage le monde post-apocalyptique de Dead Synchronicity. L’origine de la fin du monde reste très floue durant la majeure partie du jeu mais amène discrètement une touche de paranormal dont on aurait pu se passer. Le personnage-joueur va donc découvrir son nouvel environnement en discutant avec des PNJ du camp de réfugiés dans lequel il se réveille, tous en pleine dépression (à part les salopards). Abus d’autorité, proxénétisme, suicide, les thèmes abordés sont résolument adultes et rendent l’univers du jeu, bien que très confiné, crédible. Au niveau du gameplay, le jeu est un point’n click tout ce qu’il y a de plus classique. Mais s’il ne réinvente pas la roue, il n’en reste pas moins agréable à jouer, avec des énigmes certes simples mais surtout logiques. Pour moi, le principal défaut de Dead Synchronicity vient de sa durée de vie. Non pas que le jeu soit trop court en tant que tel, c’est surtout qu’il est bien trop court pour son scénario. La fin est totalement rushée, rentrée au chausse-pied, au point qu’on en attendrait presque une suite tellement elle apparait comme peu satisfaisante. Dommage, étant donné que la majeure partie de l’histoire a pris son temps pour bien nous mettre en jambe.

8 gamers found this review helpful