Graphiquement le jeu est impeccable. Même si il accuse les années, il reste encore très agréable à regarder et certaines régions se démarquent vraiment comme celle avec les cristaux. Les ennemis bien diversifiés restent quand même bien clonés tout comme les PNJ. La bande son est bonne, les musiques changent en fonction de votre classe : très bonne idée ! La VF par contre est bien trop inégale : ça va du correct au vraiment mauvais. Le gameplay est pas mal mais j'ai un reproche : quand vous utilisez le clavier pour vous déplacer et que vous enlever votre doigt de la touche, votre personnage continu de courir une ou deux secondes. Cela me fait penser à des déplacements par cases ou une animation qui doit se réalisée entièrement. La caméra peut devenir problématique, surtout quand vous lancez une partie : vous avancez et celle-ci ne bouge pas ! Ça dure encore ici quelques secondes mais c'est vraiment pénible. L'histoire est pas intéressante, on se contente de suivre le point orange sur la carte jusqu'à la fin. Il y a deux campagnes avec 6 classes : mais très peu de différence entre les personnages. Je ne le valide pas les quêtes fedex au possible : tuer X loups, rapporter des fleurs, ... Certaines sont mêmes assez insultantes ! Le monde est grand, trop grand ! C'est bien de faire un open-world mais mettre des points très éloignés pour gonfler la durée de vie, c'est non. Ce titre aurait gagné à voir sa carte réduite, surtout que certains endroits sont justes des plaines. Et je M'INSURGE sur les MURS INVISIBLES : c'est une plaie ! On peut pas explorer comme on veut et votre héros n'est pas capable de traverser des bois ! Les ennemis se calent sur votre niveau : mauvaise idée ! Où est la progression ? Voir des ennemis de la zone du début au niveau 60 : ridicule ! Sacred 2 est un jeu à mi-chemin entre le moyen et le bon. Ses quêtes sans intérêt et ses nombreux aller/retours pourront miner votre expérience et même vous demander simplement : pourquoi continuer ?
Graphiquement le jeu est minimaliste même si de loin c'est plutôt correct : c'est de la 2D isométrique. On regrettera l'impossibilité de tourner la caméra. La musique est plaisante notamment celle de la première grande zone : très relaxante. Mais comme c'est toujours la même qui tourne en boucle, ça peut devenir vite fatiguant. L'histoire est clichée et certains éléments ne sont pas développés notamment lorsqu'on quitte la forêt. Les notes qu'on trouvent nous offre du lore intéressant. Par contre : pourquoi il faut passer la souris dessus pour enlever du noir ? Pas compris ! Le système de déplacement et de combat se fait au tour par tour suivant des cases. C'est assez déroutant surtout quand on s'attaque à un cerf : on lui court après de case en case jusqu’à ce que la bête se décide à bifurquer pour se trouver à notre portée. Le système est pas mauvais mais le problème est que tous les ennemis sont des sacs à PV ! On met des plombes pour en tuer un, ce qui rend le jeu difficile ! Le système de craft et surtout de construction est très complet : j'ai pris plaisir à construire ma demeure dans la zone dédiée. On peut vraiment faire ce qu'on veut. Alors, certes : c'est optionnel. Vous pouvez très bien mettre un lit au milieu de nulle-part et voilà mais ça serait se priver d'une partie de ce titre. On regrettera l'impossibilité de mettre des étages. Il faut acheter ou trouver des plans et des recettes : cela invite à l'exploration. Cette dernière est plaisante : l'univers est grand et on trouve beaucoup de grottes et de ruines à explorer ! Nous avons aussi un système de soif/faim/sommeil : trop rare dans les rpgs ! Le jeu a été traduit entièrement par des bénévoles, on ne les remerciera jamais assez pour ce travail colossal ; il y a énormément de textes ! Balrum est un jeu excellent. Les développeurs ont réussi à marier un RPG lambda avec des éléments de construction et de gestion. La fin nous laisse présager une suite qui je l'espère arrivera un jour...
Comme toujours avec la série Steamworld, nous avons droit à des personnages avec des allures bien trouvées. Je pense notamment à Orik : le personnage le plus réussi de manière esthétique et en jouabilité. Cependant, les décors sont à mon avis pas assez travaillés : c'était l'occasion de faire du Steampunk. Après tout, l'univers s'y prête totalement ! Dommage ! L'histoire est pas terrible, trop enfantine et clichée. Je n'ai rien contre le fait de mettre de l'humour mais certains moments... Erf ! On entre dans la Stupidité avec un grand S ! Le système de combat est basé sur les cartes au tour par tour. Chaque personnage a le droit d'en avoir 8 et nous ne pouvons utiliser que 3 héros en même temps (jamais compris comment ça marchait ce genre de combine : les deux exclus vont s'assoir et regarder le combat ?). Ce qui au final, nous fait un deck de 24. Et là pour moi nous avons un problème : nous sommes trop limités. une limite de 10 cartes aurait été plus judicieuse en terme de possibilité et de stratégie. La musique est plutôt pas mal. Le fait qu'elle change au fil des chapitres est une bonne chose : nous avons ainsi de la variété. Les niveaux ne sont pas très grands, chacun est régie par une limite de niveaux. Je m'explique : mettons que la limite soit "15". Une fois que vos personnages ont atteint cette barre, les ennemis ne vous donneront que des miettes d'XP. Et là, j'ai un autre problème ; c'est typiquement le jeu où les combats sont plus gérables si vous farmez l'XP. Ici, pas question ! Le jeu est pas difficile mais quand même... Quelques niveaux supplémentaires font du bien. SteamWorld Quest : Hand of Gilgamech est sur le plan technique une réussite mais son scénario et ses personnages trop puéril par moment peuvent freiner certains joueurs désireux de vivre une aventure peut-être pas épique mais intéressante et bien racontée. Néanmoins, je conseille cet opus tout comme les autres de cette série : ils sont tous très bons !
Graphiquement le jeu est vraiment pas terrible : certaines textures sont même hideuses. Comme dans beaucoup de jeux à la première personne : vous ne voyez pas votre corps quand vous baissez le regard. Et comme toujours : c'est une honte. L'ambiance est plutôt réussie : elle est très dérangeante. Le psychopathe a vraiment une bonne voix. Cependant, tout est bien trop cliché par moment : vous voyez quelque chose vous observez et en avançant, celle-ci disparait. Ou encore le coup des mannequins qui bougent sans raison ou cet ajout de surnaturel : quelle est l'explication ? Je veux bien que le tueur soit balèze mais là, on dirait qu'il a pactisé avec Belzébuth ou que sais-je encore. L'histoire est plutôt bien mise en scène où vous avez effectivement trois fins différentes mais pour les débloquer, il faut trouver des objets et passer à des endroits précis. Autant vous dire, vous ne pouvez pas les débloquer tout seul. Je suis peut-être pas assez malin ou observateur mais j'ai passé plusieurs moment à me demander ce qu'il faut faire. Vous avez des indications fournies par votre kidnappeur mais ce n'était pas très clair à certains endroits. On regrettera aussi l'absence de sauvegarde dans les niveaux : si vous quittez, vous recommencez. C'est très chiant. Même si ils sont court, il peut arriver qu'on doit quitter la partie et donc : rebelote. Quand vous mourrez, vous recommencez à un check-point temporaire. Là, ils sont sympa parce que vous mourrez très facilement surtout dans les phases où il faut échapper à un ennemi. Don't Be Afraid est un jeu d'horreur très court mais son atmosphère et son antagoniste vous ferons frisonner. Mais une fois terminé, l'envie de recommencer pour tenter une autre fin ne sera peut-être pas au rendez-vous vu qu'il faut suivre un guide pour être certain de la bonne marche à suivre. A essayer.
Quand vous lancez le jeu, vous êtes très vite happé par cette introduction mystérieuse et ce Maître du Jeu que vous affronterez dans une sorte de "duel de cartes". "Duel" n'est pas le mot juste, vous subissez sans vraiment pouvoir contre-attaquer ! Votre antagoniste fera des commentaires tout au long de votre partie. C'est bien ? Oui jusqu'à ce qu'il vous demande pour la deuxième pourquoi vous jouez ! Là, c'est vraiment une plaie ! Si vous écoutez bien ce qu'il dit, vous pouvez vous imaginer un scénario bien plus complexe qu'une banal partie de jeu. Plus d'options de dialogues auraient rendu ce personnage plus vivant. Ici, vous ne voyez qu'un type qui vous regarde sans expression qui récite ses répliques, comme un PNJ et non comme votre Némésis. Vous vous déplacez de carte en carte avec parfois des choix dont les résultats sont déterminés par les cartes "Echec ou Réussite".Je trouve ce système de déplacement d'une tristesse sans nom. Ce que vous remarquerez très vite c'est que vous voyez très souvent les mêmes cartes ressortir. Notamment ce voleur de Lionel ou cette paysanne qui réclame de la nourriture. Au final, ce qui devait faire la force de ce premier épisode est en fait sa plus grande faiblesse : ça en devient lassant. Les phases en troisième personne ne sont que des combats avec une caméra terrible rendant certains affrontements bien trop difficile comme le combat final : une horreur. L'ajout des donjons piégés est une bonne idée mais encore ici, on tourne en rond ! Mention quand même à l'animation de votre personnage quand il s'équipe : très classe. Tout comme la musique ainsi que les environnements : détaillés et vivants. La tentative de fusion entre un jeu de cartes et d'action d'Hand of Fate est réussie en partie mais son manque de renouveau vous fera entrer dans un sentiment de lassitude et ça, c'est fatal pour un jeu. Vous avez 13 boss à vaincre, mais arriverez-vous à passer outre ce manque de dynamisme ? Pas évident par moment ! À essayer !
Graphiquement le jeu est très coloré avec des personnages fort bien designer : chacun est unique et même classe. J'aime beaucoup cet univers. Mention aussi aux animations : bien réalisées et différentes suivant si vous tirez ou si vous utiliser une compétence. Vous verrez votre personnage faire comme si il réfléchissait. Du détail mais important. La bande son est bien en particulier les musiques avec des paroles qui sont jouées dans les bars ou après avoir vaincu un boss. L'histoire est hélas pas palpitante : elle est très en retrait. C'est dommage, on a quelques bonnes idées mais qui ne mènent au final nulle-part comme le fait de trouver des personnages dont la planète a été détruite. Les compagnons ont peu de dialogues et on en apprends au final très peu sur le lore. C'est regrettable car les cinématiques nous donnant le scénario sont vraiment bien faites : elles font penser aux vieilles émissions des années 50/60. Le choix des missions se fait via une carte avec des chemins tracés qui se débloqueront au fil de l'histoire : c'est très réducteur à mon avis. Quand vous avez terminé une quête, vous pouvez la rejouée pour l'XP, l'argent et les objets : tout est généré de manière aléatoire. C'est cool mais comme c'est des niveaux petits, la génération ne va pas très loin. Oh, vous avez aussi des chapeaux : ils servent à rien. Pas compris, c'est un délire ? Les combats ont une petite subtilité que j'ai apprécié : les ricochets. Avec certaines armes, vous pouvez faire rebondir les balles pour atteindre des cibles hors de portée : c'est génial et très satisfaisant quand on réussi. Je sais pas si on peut appeler ça un défaut mais : on ne recharge jamais. C'est très curieux mais après tout : pourquoi pas ? Par contre, je valide pas le coup des alarmes : les ennemis infinis, c'est non. Après s'être essayé au Metroidvania, SteamWorld Heist se lance avec succès dans le tour par tour avec une légère pointe de RPG (voyez-le plutôt comme un XCOM en 2D). Je recommande !
Lors de sa sortie originale, Doom 3 a été une véritable claque graphique : c'était tout simplement superbe. Maintenant, soyons honnête : le jeu a pris un coup de vieux. Certaines textures sont vraiment pas terribles mais comme c'est très sombre, on va dire que "ça cache la misère". Les effets de lumières et d'ombres sont cependant toujours aussi impressionnants ! On n'échappe pas aux clones : les PNJ ont quasiment tous la même tête : soit c'est une sorte d'asiatique soit un chauve à lunette. Ouais. Mars aime avoir un publique spécifique ? L'ambiance horrifique est très retranscrite, c'est le point fort à mon avis. Car l'histoire... Mon dieu qu'elle est clichée et sans intérêt ! Tout y passe notamment le méchant qui a la tête de l'emploi et borgne (très important) ainsi qu'un nom allemand. On passe notre temps à chercher des PDA pour débloquer une porte avec des ennemis qui apparaissent toujours dans des endroits où sont sait qu'ils vont arriver. Typiquement : un trou dans un mur. Vous trouverez des vidéos et des PDA qui vous donneront du lore, c'est cool ça mais on n’ENTEND RIEN ! Toutes les voix sont étouffées par les bruits ! Et y'a PAS DE SOUS-TITRE ! Comment voulez-vous pouvoir vous intéresser au background si vous ne comprenez rien ? Et c'est aussi le cas pour les dialogues dans les missions. La VF est franchement passable. Par contre, je salut le fait que les écrans d'ordinateurs soient traduits en intégral : c'est rare. Malgré ses défauts, Doom 3 - BFG EDITION est un jeu à posséder car en plus d'avoir la campagne et ses extensions, nous avons aussi droit à Doom 1 et 2. On regrettera que les développeurs n'aient pas profité de cette occasion pour intégré des traductions à ces jeux cités. Cela aurait à mon sens donner un argument supplémentaire pour l'achat.
Graphiquement, le jeu est passable et peu détaillé. Les animations sont ultra-rigides et peu variées. Je donne quand même une mention pour l'animation de votre personnage qui change si il se trouve en "ville" ou non. La bande son est nulle ! La musique est plate et sans saveur. Aucune ne donne envie d'explorer ou de combattre. Durant les affrontements, vous n’entendrez que le protagoniste faire "Ah ! Oh !" à chaque coup qu'il se prends dans sa face d'ahuri ! Oubliez les musiques d'actions ! L'histoire partait d'une bonne intention : un diablo transposé dans l'espace se déroulant dans une sorte de "vaisseau-monde". Hélas, le drame arrive vite dès les premières secondes ; vous ne pouvez pas créer votre héros ni choisir de classe. A chaque montée de niveau, vous aurez cinq points d'attributs à placer dans "dextérité, force, ..." Et c'est tout ! Pas de compétence, pas de coup spécial, ... RIEN. Vous aurez juste des "gadgets" à recharger (faut payer) qui font offices de "sorts". Rien de passionnant et d'intéressant. Le "mana" sert juste de "munitions" pour les armes à énergie. Vos moyens de défenses vont des haches, épées, lances aux armes "lasers" : juste des pistolets et fusils. Du classique au possible ! Mention quand même : un système de durabilité a été mis en place. Mais pourquoi ne pas avoir mis des trucs plus fun comme le lance-flamme ou même la possibilité d’utiliser deux armes ? Ah et l'armure, c'est torse et casque. C'est tout. Gants, bottes, jambière... non, pas de ça ici. L'inventaire : minuscule ! On passe notre temps à retourner à la base pour vendre trois armes. Pas de coffre pour stocker ! Space Hack est un jeu raté ! Vous avez en effet "45 niveaux" mais qui aura la patience d'aller au bout ? La lassitude arrivera très vite puisque vous ne faites que courir de portail en portail sans réel but à faire des quêtes sans intérêt. Je déconseille vivement ! Je vous recommande plutôt Space Siege dans le même registre : bien meilleur !
Graphiquement le jeu est passable en plus de ne pas nous permettre de voir notre corps quand on baisse le regard. J'avoue que le design donne un petit quelque chose même si notre QG est stupidement grand. La bande son est pas mal mais il arrive que la musique disparaisse et donne lieu à des silences gênants (en particulier pendant les dialogues). L'histoire part plutôt bien : vous vous réveillez dans un lieu étrange avec le cadavre de votre mentor. Vous aimez ce lieu ? Non ? Tant pis : à chaque fois que vous quitterez et reviendrez dans le jeu, vous atterriez ici et vous devrez recommencer la zone où vous étiez. Juste : c'est quoi le délire ? Vous arriverez ensuite au QG qui fait office de HUB central. Les missions de l'histoire ne sont pas palpitantes mais c'est encore pire pour les secondaires : vous débloquerez des portes qui vous feront revenir dans des cartes déjà visitées pour accomplir des objectifs aléatoires pour gagner de l'expérience et de l'argent. Et quel est cette diablerie de mettre des ennemis infinis ? Dans chaque mission vous passerez votre temps à tuer les mêmes ennemis qui sortent en boucle. Vous trouverez des armureries pour vous équipez d'armes et d'armure (lourde, moyenne et légère) avec un malus de poids : vous courrez juste moins vite. L'argent vous permet de débloquer armes et compétences mais franchement : le fusil d'assaut du début fait très bien l'affaire. Parlons du piratage : rien compris et ce n'est pas facile de tenter de comprendre quand on se fait harceler par 300 soldats ! Vous avez beau avoir des tutos : tout est très mal expliqué... Si ça l'est ! La technique du Cyber-saut par exemple : pas montrée ! J'ai dû cherché par moi même. E.Y.E - Divine Cybermancy aurait pu être un jeu vraiment sympa. Mais le trop gros nombre de soucis et le fait qu'à un moment le jeu ne voulait simplement plus sauvegarder ma progression et a voulu me faire recommencer plusieurs missions m'a fait stopper pour de bon. Je déconseille !
Graphiquement le jeu est impeccable sauf pour la pluie : c'est laid au possible. La bande son est géniale avec une VF de bonne qualité même si la synchro-labiale a quelques soucis tout comme les visages. Par moment, certains ont des tics assez étranges. L'IA est stupide au possible : elle fonce sur vous. Les flics ne servent à rien. Le système de "témoin" est une bonne idée mais devient vite embêtant du fait que tout le monde court vous dénoncer. On appréciera aussi le système de furtivité. L'histoire démarre plutôt bien : tout est raconté en flashbacks avec une mise en scène "reportage" pour le prêtre : c'est excellent. Les parallèles sur la guerre du Vietnam sont pertinentes. Le fonds de racisme est une bonne idée : ce n'est pas souvent qu'on voit ça dans les jeux-vidéos. Puis arrive l'élément déclencheur qui lance la quête de vengeance. J'ai eu plus l'impression de voir Rambo qu'un type normal ! Je m'attendais presque à se préparer comme dans le film Commando : on est une armée à nous tout seul. C'est souvent le cas mais là : c'est exagéré ! La recherche de vengeance est surfaite au possible. Dans le premier Mafia, c'était le fait d'en vouloir toujours plus qui a mené à la perte du héros et dans sa suite, c'est la loyauté. Ici, ce n'est pas vraiment un "Mafia" puisqu'on ne cherche pas à monter dans la hiérarchie mais à la détruire. Enlever quelques noms connus de la série : vous pensez alors que vous jouez à un jeu issu de cet univers ? Non. A mon sens, une intrigue plus axée sur la mafia noire des années 60 avec un personnage qui revient du Vietnam hanté par ce qu'il a fait aurait été bien plus intéressant et encore une fois plus réaliste et pertinente. Et j'aurai enlevé toutes ces missions chiantes au possibles qu'il faut faire pour débloquer les principales : il y en a trop. Mafia 3 est doté d'une ambiance réussie, il montre le racisme dans une Amérique déchirée par de nombreuses tensions. Un bon jeu mais hélas un très mauvais Mafia. Je conseille.