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Heroes of Might and Magic®

Une valeure sûre, un "must have".

Jeu de stratégie au tour par tour, HOMM, a strategic game, est disons, prenant. Après tout j’ai passé presque une année de jeu dessus, et pas loin de 200 heures (185 heures pour être précis). Mais bon, je me suis acharné, et surtout je balance entre amour pour les jeux de stratégie et incapacité à mener à bien une stratégie, justement ! Graphiquement agréable, servi par une bande son de qualité, le jeu est difficile à souhait, en tous cas selon mes critères, et souvent même frustrant. On reste parfois pantois devant les attaques successives de l’ennemi après quelques tours de joue, alors que l’on est encore gentiment en train de monter son armée et que déboulent en face de nous des hordes d’adversaires décidément trop puissants pour nous. Mais il y a toujours un moyen. Comme dans la plupart des jeux de ce type, il est bon de pratiquer le Try and die pour apprendre, comprendre et dépasser les problèmes. Heroes Of Might and Magic, A strategic Game est donc un jeu riche en stratégie, juste bien balancé pour conserver le plaisir du jeu et nous faire revenir malgré de cuisantes défaites. Si frustration il y a dans certains combats, le plaisir de se voir vainqueur est sans pareil, d’autant que ce n’est pas le fruit du hasard, mes des choix qui ont finalement été les plus judicieux, et faits au bon moment. Comme de nombreux jeux des années 90 sur PC, il est difficile, mais c’est ce qui en fait le sel et le plaisir. Si je devais le noter, je lui attribuerais la note de 89/100. Très bon jeu de stratégie, avec une touche de RPG. Plaisir de jeu garanti.

The Witcher: Enhanced Edition

Marquant, mais encore une esquisse...

The Witcher, Le Sorcelleur en bon français, est jeu qui pour son âge (sortie en 2007) n’a pas tellement à rougir de sa condition. Beau, avec une ambiance médiévale fantastique solide, le jeu est une invitation à rentrer dans la peau du sorcelleur, revenu d’entre les morts et devant à nouveau s’aventurer dans un monde hostile, où les monstres sont parfois préférables aux humains. Les intrications politiques liées aux elfes et au nains, les jeux de pouvoirs des barons et des rois, les relations, amicales et amoureuses, font du jeu une véritable expérience nouvelle et sans conteste bien réalisée. Linéaire, découpé en chapitres, ce jeu n’offre pas un monde ouvert tel un Oblivion pour la même époque. Peu libre de ses mouvements, le héros doit accepter de suivre le fil du scénario, tout en influant, par ses choix et décisions, sur la suite et les chemins pris. Ma première expérience du jeu et positive, sans être pour autant transcendantale. Le jeu regorge de petites perles, notamment en termes de scénario et de plaisir de jeu. Mais les défauts ne manquent pas : certaines quêtes manquent simplement d’intérêt, faute de fournir un vrai plus en termes d’item : les potions de base (hirondelle, Chat Huant, Filtre de Pétri) suffisent à achever le jeu sans vrais problèmes, et les armes et armures… Pour louper l’armure du Corbeau, il faut le vouloir, et quand aux armes, on a vite le choix entre trois glaives. Reste à faire en fonction de ses goûts… Le jeu reste plaisant malgré ses défauts, et peu éventuellement faire l’objet d’un restart avec comme objectif l’achèvement de toutes les quêtes, en faisant bien sûr d’autres choix. Changent-ils cependant la fin où sont-ils des prétextes à donner l’envie de recommencer autrement, comme le dit Géralt lui-même ?

1 gamers found this review helpful
Solo Flight

On a beau s'y attendre...

Sid Meiers, des étoiles plein les yeux avec le patron de Microporse qui réalise son rêve de nous donner accès à un véritable simulateur de vol, une prouesse pour son époque. Bref, derrière les graphiques du début des années 80, une véritable promesse d’un jeu grandiose, très bien noté d’ailleurs à l’époque. Mais. Nous sommes sur la version IBM, au clavier, et là, c’est la catastrophe. Rien pour nous dire comment décoller et, devinez quoi, je n’ai pas réussi (ni sans doute trouver la force de chercher durant de longues heures) comment faire. Donc, la version practice fonctionne (on décolle automatiquement, sans avoir à mettre les gaz etc.) mais pour la partie distribution de courriers dans les divers états américains, on repassera. Et non, je n’achèterai pas un joystick pour tenter sur une version Dosbox qui, comme pour les manettes, risque de ne même pas comprendre ce qui lui arrive. Donc, si le jeu fut en son temps une véritable merveille, ce dont je veux bien ne pas douter, il est mal fichu et inutilisable dans cette version Gog. Dommage, cela arrive un peu trop souvent pour ces vieux jeux, qui mériteraient, lors du portage, quelques modifications techniques pour être jouables.

2 gamers found this review helpful
King's Quest 4+5+6

KQ 5 Enfin le Point n' Clic de légende

Excellent jeu, avec enfin une interface intuitive et simplifiée, qui permet de s’immerger complétement dans la partie. Beau, amusant, avec une ambiance sonore agréable, le jeu possède les grandes qualités d’un grand classique. A ceci près, pour moi, qu’il reste trop difficile, ou plutôt frustrant, avec ses objets que l’on peut oublier de prendre et qui, quelques heures plus tard, sont nécessaire pour poursuivre. Si ce n’est cet aspect, un grand plaisir de jeu.

1 gamers found this review helpful
The Zork Anthology

Zork 1 - Dur, mais dur...

Jeu uniquement textuel, qui doit forcément avoir ses afficionados, mais qui pour moi est trop précis dans les propositions pour pouvoir y prendre un quelconque plaisir. Au même titre que les premiers King’s Quest, ce jeu rend impossible toute avancée par ses demandes tordues (attendre trois ou quatre tour pour attraper un objet, faire une seule et unique action dans tout le jeu à un moment absolument précis, poser, reprendre, mettre ses trouvailles dans des cases sans savoir que c’est le but final du jeu, collectionner les artefacts…) Bref. Je suis sans doute ronchon, mais très peu pour moi. Je voulais essayer. C’est fait. Décidément, je suis un enfant du Point-n-click, et j’en suis bien heureux ! Par contre, joli coup tout de même de la part des développeurs de cette époque dorée qui, en même temps que Richard Garriott, inventaient juste les jeux d’aventures et posaient les bases de principes encore actifs aujourd’hui ! Pour cela, le jeu vaut une petite moyenne, avis tout à fais personnel bien entendu.

1 gamers found this review helpful
4th & Inches

Là... Non,là non, je ne peux pas...

Ce jeu... Comment dire ? Injouable. J'ai lu les avis de l'époque, vu les notes que les magasines des anciens temps ont mis à ce jeu, avec un petit 60/100 d'intérêt. Et je crois que les pauvres testeurs n'ont pas osés mettre moins, pour ne pas avoir à se justifier de n'avoir pas joué. Parce que c'est injouable. Simplement. Au clavier, en 2022, sans rien comprendre à des règles qui semblent être un évidence complète pour les développeurs, on ne peut rien faire. Mieux. On ne veux rien faire. Pas envie. Juste pas envie. Et pourtant je sais me forcer parfois, y compris pour des jeux plus anciens. Mais là... Non. Je ne veux pas perdre plus de temps que celui que j'ai mis à rédiger cet avis.

DOOM (1993)
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DOOM (1993)

A déguster sans modération

Doom. Rien que ce nom est une référence unique dans le monde vidéo ludique. Pour ma part, j’avais complétement laissé passer le phénomène à l’époque de la sortie du premier opus, faute de compétences réelles dans les FPS. Revenir aujourd’hui sur ce jeu est un plaisir complet. Découvrir comme un débutant l’univers du jeu, les musiques, la violence bien entendu, envers ces démons de l’enfer, c’est un régal. On revient avec plaisir sur les niveaux pour achever les découvertes de pièces cachées, obtenir toutes les armes, etc. Le jeu est daté, aussi si les graphismes dérangent, ce qui peut se comprendre, des mods existent pour retexturer l’ensemble. Pour ma part, à l’ancienne sur un Pc 2021, c’était un régal. A faire, et refaire.

1 gamers found this review helpful
Ultima™ IV: Quest of the Avatar

Chef d'Œuvre absolu

Ultima IV est sans aucun doute un virage important dans la franchise. La Quête de l’Avatar impose au joueur de suivre un chemin vertueux pour parvenir à ses fins, dans un monde que l’on peut, pour l’époque, qualifier d’ouvert. On suit les quêtes dans le sens que l’on veut, on peut discuter avec tous les PNJ qui ont enfin une identité propre, on prend plaisir à faire évoluer ses personnages et recruter les sept compagnons nécessaires pour faire aboutir la quête. Le choix de notre classe en début de jeu cherche à nous intégrer personnellement dans le jeu. Tout cela donne jour à un jeu fantastique, qui sera la base même de la plupart de ses successeurs, Elder Scrolls en tête. Mais Dieu qu’il est dur ! Trop dur. Les articles de l’époque en font tous état, et ce n’est pas galvaudé. Je crois franchement qu’un jeune de l’époque, s’il finissait par achever les trois premiers opus au prix de longues heures d’errance et de réflexion, ne pouvait rien faire contre celui-ci. Impossible de comprendre l’ensemble des éléments qui permettent de l’achever, sans la sacro-sainte aide des guides de stratégies et, merci Internet ! Les walkthrough existant partout aujourd’hui. Ceci étant admis, il faut jouer à ce jeu, ne serait-ce que pour découvrir le futur des RPG qui, aujourd’hui encore, puisent leurs idées et leur narration dans ce chef d’œuvre.

1 gamers found this review helpful
Ultima™ 1+2+3

Le père des JDR !

Ultima est la série culte des Jeux de Rôle, celle qui a mis en place tout ce qui, aujourd'hui encore, est actif dans les jeux, de Witcher à Baldur, en passant par les Elder Scrolls. Tout y est. Mais attention, tout y est, tel que c'était à l'époque ! Passez donc votre chemin si vous ne supportez pas plus de trois minutes des graphismes qui vous paraissent être un bug de l'écran. C'est moche, sans musiques réelles, et il faut parfois une certaine dose de patience pour accepter de se dire que ce que l'on voit à l'écran est un monde féerique et fantastique. Si on accepte ce simple fait, on peu profiter des jeux. Et voir la réelle progression entre le premier opus et le troisième, chacun apportant sa dose de nouveautés et de futurs standards. Attention aussi à un point important : la difficulté du jeu. Je ne sais pas si, à l'époque, quelqu'un est parvenu à achever l'un de ces opus sans aide, mais pour ma part, impossible. Je n'ai ni la patience, ni la capacité à comprendre qu'a tel moment il faut rentrer manuellement un ordre précis... C'est sans doute ma limite comme joueur, mais je l'assume. Les sites et autres manuels de l'époque (je vous conseil de vous procurer The Official Book of Ultima, petite perle drolatique et bien utile (en anglais cependant) où vous connaîtrez tous les secrets d'Alfred et aurez tous les éléments pour venir à bout des jeu en conservant l'aspect aventure. Amusez-vous, prenez plaisir, et vive Ultima !

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The Adventures of Shuggy

Bon petit jeu de puzzles

Il m’a fallu un peu de temps pour m’adapter aux commandes, mais le jeu mérite de s’y arrêter. J’avoue ne pas avoir eu envie de faire du 100%, pour autant le plaisir de jeu était là tout de même. Des graphismes mignons, un personnage attachant, une bande son agréable bien que répétitive. De bons ingrédients pour passer quelques minutes de détente à se prendre un peu la tête sur des puzzles variés.