Un excellent jeu d'action, bien rythmé, pas trop long qui fait une bonne suite à Max Payne : il est possible de se mettre à couvert. Les environnements, pour la plupart asiatiques, sont charmants. Il tourne très bien et est compatible HD. Le FOV est juste un peu trop étroit, mais on doit s'y faire.
Excellent jeu dans la veine du premier. C'est graphiquement le plus beau des Stalker. Bien meilleur que COP à mon avis, qui noie le joueur, dans un downgrade graphique.
Tout a déjà été dit sur ce jeu. Pas vraiment un open-world, mais il propose une chouette aventure, aux ambiances inimitables, aussi bien dans la campagne que dans les souterrains. Les sensations de shoot sur chouettes, presque tactiques. Magnifique.
The game was well with interesting world and level design, but become an uninspired mess half way through. Doesn't worth it unfortunate.
Je ne comprends pas les avis mitigés. Ce jeu est excellent ! Il se contrôle au poil, et les déplacements sont rapides. Il reprend les éléments de bases des années 1990 : un univers de science fiction, des monstres en quantité, des bosses, de nombreuses armes funs sans limitation... Il ajoute quelques éléments modernes, comme la présence d'alliés très fréquentes et rendant le jeu assez interessant. Les phases en véhicules sont critiquées, mais j'ai pour ma part vraiment aimé celle où on contrôle en mecha ! Je l'ai terminé en mode facile en 7 heures environs. La présentation est aussi très chouette, avec le moteur de Doom 3 remanié (les personnages sont mieux faits). On retrouve tout à fait l'ambiance de Quake 2, et c'est bien ce qui compte.
Très clairement, ne fait pas honneur aux FPS, au contraire des Jedi Knight. Si l'univers de la première trilogie est charmant, le gameplay ne suit pas. les armes ne procurent pas de sensations, les ennemis sont des éponges, ce qui fait que le jeu est à la fois difficile (dès le début, il lance des vagues d'ennemis droides surpuissants) et peu gratifiant. Ils surgissent d'ailleurs en boucles scriptés... Les environnement sont assi peu variés (des bases...), malgré la designe Star Wars. Une déception.
J'ai mis 10 ans à m'investir dans ce jeu, et finalement, je l'aime énormément. J'en suis à 50% environ. Far Cry 2 présente une Afrique magnifique et variée, qui ne démérite pas en 2018. La gestion des paysages distants est très bonne. Tout au plus pourrait-on regretter le peu de faune. La gestion de la météo est aussi très bonne. La lumière du soleil et l'humiditré de l'air sont magnifiquement mis en valeur. D'un piont de vue du gameplay, Far Cry est un peu un mix. C'est un monde ouvert où il est possible d'arriver à ses objectifs de multiples manière, géographiquement et en choisissant entre action et infiltration (le terrain étant assez ouvert, je recommande l'approche au sniper). C'est aussi un jeu qui a des avantages commes les jeux récents (vie qui remonte, nombre limité d'armes) mais couplé avec des mécanismes anciens : il y a des trousses de secrours et on peut porter 4 armes, ce qui est pratique. Le nombre des quêtes annexes plairait aussi aux collectionneurs, sans le côté fastidieux du craft de Far Cry 3 et après. Le processus d'obtention des diamants et d'achats des armes et améliorations est simple. Le jeu a deux défauts majeurs. Le premier est la malaria, qui peut être désactivée avec ce petit mod : https://community.pcgamingwiki.com/files/file/698-far-cry-2-no-malaria-and-infinite-sprint/ . Le jeu devient aussi beaucoup plus sympa à jouer. Le deuxième défaut est la réapparition des ennemis. Il faut s'y faire, et ne surtout pas oublier l'approche disrète, le massacer avec les mitrailleuses de 4x4 (il y a rarement plus de 3 ennemis aux checkpoints alors ça va) et surtout les voyages en bus, fort pratiques. On voit donc ici que Far Cry 2 est un jeu extrêmement riche (je n'ai pas encore poussé le systèmes des compagnons) et équilibré. Je conseille donc ce jeu, avec une action de dingue (le bruit, la variété des armes et les effets d'explosion et de feu !!), et qui présente une Afrique variée (désert, savane, forêt équatoriale...) et magnifique.
