

Une aventure sympathique, qui évoquera l'âge d'or du point and click par son style dessiné à la main. En outre, l'aventure se déroule durant les années 90. Bien que le jeu ne brille pas par la complexité de ses énigmes, qui sont relativement simples. Ce qui, à titre personnel, ne me dérange pas. Car, à choisir, il vaut mieux des énigmes simples que des énigmes alambiquées et frustrantes.


Grand amateur du genre cyberpunk, je ne pouvais pas passer à côté de Cyberpunk 2077. Cependant, le lancement tumultueux de celui-ci m'a incité à tempérer mes attentes sur le jeu. J'ai donc décidé d'attendre. Deux ans après sa sortie et de multiples mises-à-jour visant à corriger la kyrielle de problèmes, je me suis lancé dans l'aventure. Ce fut une sage décision, car l'épopée fut mémorable. Bien que loin d'être parfait dans tous ses aspects, le jeu brille par l'écriture de ses personnages et de ses quêtes, principales comme secondaires. Seules les activités pêchent par leurs structures rigides. Nightcity, la cité dans laquelle l'intrigue prend place, est une véritable réussite. C'est une ville riche et cohérente, chaque quartier possède une identité visuelle distincte ainsi qu'une histoire qui lui est propre. Celle-ci est convoyée tant dans l'esthétique que dans les nombreuses entrées des journaux que l'on trouve disséminées lors de l'aventure. Dans son approche structurelle, Cyberpunk tente au maximum de laisser la possibilité au joueur de choisir l'approche qui lui convient, ce qui est une notable compte tenu de la nature en monde ouvert du titre et de la multiplicité des approches dans la construction de son personnage. Cependant, je ne serais pas aussi indulgent sur les mécaniques de tir qui sont très basiques et manquent de profondeur. De plus, le monde ouvert, bien que superbe, reste désespérément stérile. Cette absence de vie palpable dans la ville la rend parfois froide et artificielle. Un comble pour un jeu qui met l'humain au cœur de son intrigue.

J'ai acheté le jeu sans vraiment m'attendre à quoi que ce soit et je dois avouer que je suis très satisfait de mon achat. On y incarne un ersatz de Jackie Chan dans les années 80-90. Le but est de survivre à des hordes d'adversaires grâce à nos pieds, nos poings et aux objets de l'environnement, à l'instar de l'acteur dans ses films. Pour ce faire, nous pouvons créer des combos qui possèdent différents effets. Sur ce point, le jeu est très agréable, car les animations sont très détaillées et agréables à utiliser. On débloquera de divers coups au fur et à mesure de la partie. Il convient de noter que l'équilibrage n'est pas très présent. Certains coups étant bien plus efficaces que d'autres. C'est un jeu fort sympathique qui prendra une bonne dizaine d'heures afin de voir le dernier niveau. Le double pour achever les différents niveaux de difficulté

Grand amateur du genre cyberpunk, je ne pouvais pas passer à côté de Cyberpunk 2077. Cependant, le lancement tumultueux de celui-ci m'a incité à tempérer mes attentes sur le jeu. J'ai donc décidé d'attendre. Deux ans après sa sortie et de multiples mises-à-jour visant à corriger la kyrielle de problèmes, je me suis lancé dans l'aventure. Ce fut une sage décision, car l'épopée fut mémorable. Bien que loin d'être parfait dans tous ses aspects, le jeu brille par l'écriture de ses personnages et de ses quêtes, principales comme secondaires. Seules les activités pêchent par leurs structures rigides. Nightcity, la cité dans laquelle l'intrigue prend place, est une véritable réussite. C'est une ville riche et cohérente, chaque quartier possède une identité visuelle distincte ainsi qu'une histoire qui lui est propre. Celle-ci est convoyée tant dans l'esthétique que dans les nombreuses entrées des journaux qu'on trouve disséminées lors de l'aventure. Dans son approche structurelle, Cyberpunk tente au maximum de laisser la possibilité au joueur de choisir l'approche qui lui convient, ce qui est une notable compte tenu de la nature en monde ouvert du titre et de la multiplicité des approches dans la construction de son personnage. Cependant, je ne serais pas aussi indulgent sur les mécaniques de tir qui sont très basiques et manquent de profondeur. De plus, le monde ouvert, bien que superbe, reste désespérément stérile. Cette absence de vie palpable dans la ville la rend parfois froide et artificielle. Un comble pour un jeu qui met l'humain au cœur de son intrigue

J’ai découvert la licence avec Pathfinder: Kingmaker, qui m'avait laissé une forte impression malgré des défauts, je n'ai pas hésité à soutenir financièrement sa suite. Wrath of the Righteous est un jeu gargantuesque, avec une pléthore de classes disponibles, une multiplicité des embranchements scénaristiques et une kyrielle de quêtes. La trame principale, riche en rebondissements, trahisons et intrigues, ne déroutera pas les vétérans de ce type d'aventure. Visuellement, malgré son format 3D isométrique, le jeu se distingue par des graphismes agréables. Un gros effort a été consenti sur les effets des compétences et des sorts. De plus, les animations et la modélisation des personnages méritent d'être soulignées. La bande son est une pure réussite. Les thèmes composés pour accompagner l’aventure sont cohérents et variés. Le compositeur Dmitry V. Silantyev s’est vraiment surpassé en proposant une bande son de grande qualité qui parvient toujours à souligner le souffle épique de cette aventure. Comme il est de coutume dans les RPG, Wrath of the Righteous propose une galerie de compagnons variés qui, pour la plupart, sauront captiver l’attention. Chacun d'eux possède son propre caractère et ses aspirations, et vos choix pourront entrer en conflit avec ceux-ci. Malheureusement, il serait inexact de dire que tous les compagnons sont intéressants ; certains se révèlent être des archétypes creux. Heureusement, cela reste une minorité. Enfin, il convient de parler du support du jeu. Owlcat a été exemplaire dans ce domaine, même si le jeu est sorti dans un état perfectible, avec des bugs divers, des quêtes inachevables, des crashs et des ralentissements. Cependant, le studio s’est appliqué à corriger ces problèmes au fur et à mesure de la sortie des patches, peaufinant le jeu en modifiant l’interface, en corrigeant les bugs et en ajoutant même du contenu gratuit à la demande de la communauté, comme des ajouts à certaines voies mythiques.