There are several things interresting about this game. First, a FPS in a fantasy setting is pretty rare. The spells (artifacts) come rich in variety, the gothic style of the buildings is neat, I liked the heroine and didn't expect this kind of horrific atmosphere with some scary monsters. Having said that, the mix doesn't make up for a good enough coktail. The ennemies and leveldesign of the single player are meh, and something is off about the rythm. The Wheel of Time reproduce the fast FPS formula, but this formula doesn't fit as well when you have a dozen or more spells to choose from at any given time. It's messy and not great from a gaming perspective.
The Nomad Soul additionne plusieurs genres de jeux qu’on n’a guère l’habitude de mélanger : le plus souvent il s’agit d’un jeu d’aventure à la troisième personne, avec des dialogues et des énigmes à résoudre. Mais lorsque viennent les combats, on passe tantôt sur de la baston Versus Fighting, tantôt sur des segments FPS. Ce qui amène de la diversité. Sans être géniaux, chaque mode est suffisamment solide dans ses fondations pour donner satisfaction au rétrogamer aguerri que je suis. Cet avis n’est toutefois pas universel : si j’en crois d’autres reviews, beaucoup sont restés bloqués aux contrôles... ou aux énigmes qui demandent un minimum de réflexion. Omikron m'a surtout capturé pour son univers et sa vibe bien a lui. Il propose un monde-ouvert précurseur (avant Shenmue), un lore sous-jacent profond, de l’humour dans la satire de la société qu’il dépeint à travers ses publicités capitalistes et injonctions du régime totalitaire (imaginez un mix de 1984, Robocop et le Cinquième Élément). La prédominance est au cyberpunk… sous reflets de magie, d’anciennes civilisations et de présence démoniaque. The Nomad Soul bénéficie d’un bon doublage (au moins en français) et d’éléments artistiques intéressants dont sa façon de filmer et la participation de David Bowie dont on vous a sans doute déjà trop parlé. En bref, The Nomad Soul se détache par sa DA fascinante et son ambiance dans un univers immersif, vivant et crédible. Très ambitieux, vieilli sous certains aspects mais pas trop imo, il souffre d’un rythme parfois ronronnant et surtout d’une conclusion (dernier quart) qui manque de finitions.
Je suis né au début des années 1990, autrement dit j'étais trop jeune pour jouer à Planescape: Torment à sa sortie. Hé bien c'est avec beaucoup de joie que je l'ai découvert en 2025. C'est un jeu de rôle formidablement bien écrit* qui permet d’explorer un univers aussi drôle qu’étonnant, car souvent à contre-courant des codes habituels de la fantasy. Son cadre sale, écorché, ses personnages excentriques et ses options de dialogues amènent des possibilités nombreuses et une narration géniale. Du côté des choses moins réussies, le gameplay des combats était léger et la progression peut éventuellement devenir un peu obscure. *La VF n'est pas parfaite mais très bonne.
L'Amerzone a des qualités certaines : une écriture française de haut vol (vous comprendrez ce jeu de mot), des dessins magnifiques, des animaux exotiques et des machineries originales. La direction artistique et l'histoire m'ont embarqué. Prendrez-vous l'envol vers un pays imaginaire à bord de votre fidèle hydraflot ? Parmi les défauts, les puzzles manquent de substance et le dernier tiers du jeu retombe un peu.
The openworld nature of the game is nice The combat sesquences are repetitive and meh The platforme sequences can be pretty horrendous Some of the puzzles turn out very complex. Sometimes rewarding, sometimes frustrating. It would be almost impossible to finish the game without the help of a guide (like the official Redguard Companion) Redguard is a pretty bad game and hasn't aged well However, I love the Elder Scroll's universe and I was not disappointed with what I got here. Not at all. The writing is very strong, characters are good, artworks are great, the atmosphere is charming, the lore is rich and can get very deep. If those are points you are looking for and if you can overpass the gameplay flaws, TESA: Redguard it very much worth while
A bug in the mission "Paving the Way" (6th mission) prevent some of us from continuing the campaign. I enjoyed the game (impressive for a 1998 title) but wasn't able to play over two hours because of this. I've found a post complaining about this bug as old as 2008 on the GoG forums. There seem to be ways to fix it but it's rather complicated. I won't be buying Freespace 2 here because I don't want to risk another breaking bug.
(Windows 10) I was able to play about 20% of the game before I encountered a bug that ended my run: in the forest when you need to move a wheelbarrow, my character would just disappear. I read online that other people have had this bug and I could not find a way around it. So even though I was enjoying Grim Fandango's universe, I cannot recommend this version.
Plus qu’un shooter classique bien maitrisé et une plongée convaincante dans l’univers de Star Wars, Jedi Knight: Dark Forces II se pare d’une dimension RPG alors novatrice, enrichissant le jeu en possibilités grâce à divers pouvoirs liés à la Force. Le tout saupoudré de scènes de film (FMV) intéressantes à l’époque, et qui restent drôles aujourd’hui.
