All right, if the matter was to name the best C-RPG in history, half of the planet would probably be fighting to tell wich one of those three games it is. Ultima IV, as the first RPG when your goal WASN'T to go kill the bad guy? Ultima V, for its fantastic atmosphere, its dark world and its fascinating story? Or Ultima VI as the first virtual reality where you could do almost anything, only beaten by its sequel, aka the-game-where-you-could-even-cook-bread? Simple answer is: take an hour in your life to read the manual and simply play the games. No RPG-lover will ever regret that.
I dare to say it: there was no C-RPGs before this game. All right, you had some pretty decent dungeon-crawlers, and a few daring experiences, but this is the real thing. You don't have to kill the bad guy: you have to become a hero. No, you can't barge in people's house an take everything without consequences, yes, you sometimes have to show compassion and let wounded monsters flee, show courage and refuse to flee yourself, always give the best you've got. Cause tomorrow, you just won't be the common hero. Tomorrow, you're gonna become the Avatar. Enjoy. It only happens once in a lifetime.
À la fin des années 80, le PC était une plate-forme quasi-unanimement méprisée par la plupart des joueurs. Configuration complexe, ludothèque limitée, sons balbutiants: la plupart des portages des grands classiques se payaient même le luxe d'être inférieurs, dans leur version PC, à ce que pouvaient offrir les machines 8bits qu'étaient l'Apple II ou le Commodore 64. Face à la concurrence écrasante des deux mastodontes qu'étaient l'Atari ST et l'Amiga, le PC était donc condamné à n'être qu'une machine de bureau, cantonnée au rôle qui a échu au mac depuis. Voici les deux jeux qui ont changé la donne. Il faut bien comprendre qu'à l'époque de sa sortie, Wing Commander était une véritable gifle. 256 couleurs, voix digitalisés, des cinématiques (!) dessinées et animées pixel par pixel, le tout pour offrir une expérience "à la Star Wars" avec des graphismes sublimes qui n'avait, à l'époque, aucun équivalent. Nombreux sont ceux, devant le deuxième épisode, a avoir lâché un soupir admiratif devant cette interminable introduction parlée, la bave aux lèvres et le souffle coupé. Pour la première fois, on avait véritablement l'impression de participer à un véritable film interactif dont NOUS étions le héros, avec ses retournements, ses traitrises, ses histoires d'amour, et son final grandiose où, faute de détruire l'étoile noire, on partait à l'assaut du QG des Kilrathis, la terrible K'titrak Mang. Wing Commander, c'était la saga qui vous faisait acheter un PC. Un choix que personne n'a jamais regretté depuis.
All right, those games are the beginning of one of the greatest RPG saga in history (the second trilogy beeing the best). But honnestly, you could have the whole ultima collection for that price, and not just the first trilogy.
