The Witcher 2: Assassins of Kings Enhanced Edition

dark difficulty and complete misunderstanding of things that make the 1st part great are the main scourge of this game , just throws away gameplay difficulty balance in the toilet, not mentioning using legendary armor in caves,no thought behind this at all, devs just wanted some resemblance with idiotic souls games. No companionship throughout the story either, you always alone, your so called sidekick is the spy and a black ops commander, what affection could you posssibly have towards him, moronic shit. The only things. that saves the game are its unprecedented plot complexity without loss of logic and meticulousness towards every character that you meet in their dialogues and actions , don't get me wrong, you won't care about any of them , it's just gonna be interesting to see this convoluted beautifully looking story to the end.

Profondément marqué par le premier Witcher, ce deuxième volet est le premier (et le dernier) jeu que je me suis procuré "day one" : je l'ai bien sûr fini plusieurs fois en version boîte. Et je dois bien admettre que, si j'ai appris depuis à l'apprécier, j'ai été sur le coup extrêmement déçu par la proposition. Car s'il y a une chose que réussit très mal la trilogie des Witcher (en comparaison à une autre trilogie marquante de l'histoire du RPG, celle des Mass Effect par exemple), c'est le passage d'un jeu à un autre : Cd Pojekt ne parvient pas à respecter les choix opérés dans le jeu précédent pour concevoir le suivant. La faute à des départs dans les équipes de devs ? (qui ont eu lieu à chaque fois) À des licenciements ? À des choix de stratégies commerciales de plus en plus prégnantes et qui ne faisaient pas l'unanimité en interne ? Nous ne le sauront pas, toujours est-il, malheureusement, que cela se ressent bel et bien dans les jeux. Un exemple, pour le passage du premier au second jeu : la romance. Il est tout à fait possible de finir le premier jeu en romance avec Shani, sans coucher avec aucune autre. Romance par ailleurs très marquante. Et on se retrouverait comme ça, d'un coup, dans la couche de Triss ? Non. Impossible. Plus tard, le jeu propose d'être parcouru avec Roche ou Iorweth. Et il ne le propose pas avec Shani ou Triss ? Provocation ? Alors bien sûr, ce second opus a d'indéniables qualités, et ce défaut, ajouté à la perte de passage de niveaux (méditatifs) au feu de camp, aux interfaces manettes-console, à son système de mutagènes ridicule ou à son arbre de compétences alchimiques qui ne respecte pas le lore (des livres), n'en feront pas un mauvais titre, évidemment. Son gameplay temps réel, son écriture et ses graphismes compenseront pour l'essentiel des joueurs. Mais cela suffit néanmoins pour ne pas en faire un grand jeu, un classique, comme l'était son aîné.

This is one of the games I like to come back, just because it left a good memory the first time I played it. In my experience I have to say that I haven't had any performance problems.

Played this game years ago and got the urge to play it again ahead of a W3 playthrough. I'm surprised at how well this holds up. I also apparently don't remember it at all it's been so long, so it's like playing a new game now. Very happy with it!

Tried Witcher 1, combat hopeless, gave up, jumped forward to Witcher 3, played all the way through, great game. Witcher 2 seems to be far better than the first one and I was pulled straight in. Had to read some advice about the combat but ok once learned, enjoying it so far.